Simuler la meilleure compagnie aérienne du monde


Delta Air Lines est une importante compagnie aérienne américaine basée à Atlanta, en Géorgie, qui exploite un vaste réseau national et international. Delta dessert des vols au départ de Londres Gatwick, Manchester, Édimbourg, Dublin et Shannon vers ses hubs principaux à New York JFK, Cincinnati et Atlanta. Continental Continental Airlines, dont le siège social est situé à Houston, au Texas, est la quatrième compagnie aérienne des États-Unis. La compagnie aérienne dessert Newark et Houston depuis tous les grands aéroports du Royaume-Uni, notamment Londres Gatwick, Manchester, Birmingham, Bristol, Édimbourg, Glasgow, Dublin, Belfast et Shannon. Virgin Atlantic La compagnie Virgin de Richard Branson exploite des liaisons long-courriers entre le Royaume-Uni et l’Amérique du Nord à partir de sa base principale à Londres Heathrow. La compagnie aérienne a des bases plus petites à Londres Gatwick et à l’aéroport de Manchester. Les vols de Virgin vers les États-Unis incluent l’aéroport international de Newark, New York JFK, Baltimore, Washington Dulles, Boston, Chicago, Miami, Orlando, Las Vegas, Los Angeles et San Francisco. American Airlines Honorée comme la plus grande compagnie aérienne des États-Unis, AA est basée à Fort Worth, au Texas, à côté de l’aéroport international de Dallas / Fort Worth. American exploite des vols réguliers de Londres, Manchester et Dublin à Boston, New York JFK, Chicago, Raleigh / Durham, Dallas, Miami et Los Angeles. Pour plus d’informations, je vous recommande la lecture du blog sur cette activité de vol en simulateur qui est très bien fait sur le sujet.



Les enjeux démocratiques soulevés par les choix technologiques et industriels


La recherche, l’innovation ainsi que les choix technologiques et industriels auxquels ils conduisent ne sont pas des choix indifférents, ils peuvent avoir des impacts importants sur toute la société. Ils montrent bien l’importance du dialogue associant la communauté scientifique, les acteur.rice.s des entreprises et les pouvoirs publics, la société civile. Dans un avis adopté en mars 2017, intitulé « Vers une bioéconomie durable », le Cese relevait que les impacts négatifs de la production des biocarburants n’avaient réellement fait l’objet d’études qu’une vingtaine d’années après le début de leur commercialisation en Europe. Il aura fallu ce délai pour que la société prenne conscience que la première génération de biocarburants soulevait de nombreuses questions de durabilité «  en ce qui concerne les coûts économiques, les émissions de GES (y compris par substitution d’usages de sols), la durabilité des systèmes de production, les impacts sur l›approvisionnement alimentaire et la biodiversité. » Ce retour d’expérience justifie la mise en place de critères de durabilité en aval des systèmes de production, mais aussi un dialogue renforcé entre toutes les parties prenantes en amont et en aval. En application de l’article 7 de la Charte de l’environnement – dont la valeur constitutionnelle est établie -, «  toute personne a le droit, dans les conditions et limites définies par la loi, d›accéder aux informations relatives à l›environnement détenues par les autorités publiques et de participer à l›élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l›environnement.  » Ces deux principes d’accès à l’information et de participation sont repris par l’article L 110 du code de l’environnement : d’une part, « toute personne a le droit d›accéder aux informations relatives à l›environnement détenues par les autorités publiques », d’autre part, « toute personne est informée des projets de décisions publiques ayant une incidence sur l›environnement dans des conditions lui permettant de formuler ses observations, qui sont prises en considération par l›autorité compétente ». Ces deux règles de conduite, fondamentales en droit de l’environnement, qui s’appliquent aux relations entre les pouvoirs publics et le.la citoyen.ne, ont en réalité une portée beaucoup plus large, très au-delà de la seule sphère publique. Elles doivent en effet être intégrées en amont des projets dans un très grand nombre de cas dès lors que ceux-ci nécessitent des autorisations publiques ou peuvent prétendre à des dispositifs de soutien public. On voit d’ailleurs mal comment il pourrait en être autrement dès lors que la charte de l’environnement proclame dans son article 6 que «  les politiques publiques doivent promouvoir un développement durable. A cet effet, elles concilient la protection et la mise en valeur de l›environnement, le développement économique et le progrès social. » Ce mouvement s’accélère : en avril 2017, le décret de mise en œuvre de l’ordonnance de 2016 concernant la démocratie environnementale a ainsi élargi l’organisation de débats publics par la commission nationale du débat public (CNDP) aux plans et programmes nationaux parmi lesquels la PPE ou la stratégie nationale de mobilisation de la biomasse, qui concernent le secteur industriel. 500 000 citoyen.ne.s peuvent désormais la saisir pour qu’elle organise un débat national sur un projet de réforme relatif à une politique publique. La CNDP peut aussi être saisie de tout projet industriel dont le coût des équipements (bâtiments et infrastructures) dépasse 150 millions d’euros : c’est à ce titre que France Nature Environnement a obtenu en septembre 2017 un débat public sur le projet de mine d’or en Guyane, à l’échelle de ce territoire.